mardi 22 novembre 2011

Tales Film : M , der Mörder ficher sur Fritz Lang

M Le Maudit


Fritz Lang (5/12/1890 Wien - 1976 Los Angeles: citations ( Fritz Lang par Luc Moullet, Cinéma d’aujourd’hui, Seghers , CDI Ste Marie

Père grand archtecte viennois, F.L. se dirige vers l’architecture puis abandonne, étudie la peinture. Il a assez d’étudier, rompt avec sa famille, part faire le tour du monde : Asie Mineure, l’Afrique du Nord, Asie, Chine,Japon Russie et se fixe à Paris en 1913, gagne sa vie en dessinant des caricatures pour des journaux all.. La guerre éclate, il rejoint Vienne, enrôlé dans l’armée, 4x blessé, borgne, longtemps hospitalisé,continue à étudier la peinture et l’art de tous les pays. Il joue pour le Gala de la Croix Rouge et se fait remarquer, premiers scénarios amères et pessimistes (1916) Comme il est mécontent du traitement que les réalisateurs réservent à ses scripts,et poussé par des amis il se dirige vers la mis en scène et surveille le tournage de ses scénarions. Il fait ainsi l’apprentissage de la mise en scène.

1919 Halb Blut ....., 1921 Der müde Tod (Les 3 Lumières), 1922 Dr Mabuse (1er épisode)......1926 Metropolis, 1927 Spione .....1931 M dernière œuvre all.

1933 Goebels propose à Fitz Lang qui est pourtant juif le poste de réalisateur officiel de l’All. Nazi, mais lui préfère fuir le fascisme et la volonté de puissance. Il va reprendre le problème sur le plan individuel, tel qu’il se pose dans les pays plus pacifiques où il se rend.. La diff. y consiste à vivre sans éfreindre les lois etr sans devenir leur victime. Les héros ne seront plus des ambitieux ou des revanchards, comme on en trouvait en All., mais des êtres comme les autres, englués dans l’anonymat des foules apparemment aisés et sans souci communes à la France et à l’Amérique.

3 derniers films tounés en All. 1958 Der Tiger von Eschnapur, Das indische Grabmal ,1960 Die 1000 Augen des Dr Marbuse (Le diabolique Dr M)

45 films 1919 -1960

Moralische Probleme

Es gibt Fragen, die so alt wie die Menschheit sind. Ich glaube, dass man untentwegt das Böse in all seinen Formen bekämpfen muss, selbst wenn der Kampfausgang unsicher ist. S. M

Sozialkritik

Kritik der Umwelt, unserer Gesetze, unserer Uberzeugungen,Meinungen,

Der Menschen hat den wahren Sinn seines Lebens vergessen, arbeitet nur noch für das Geld und nicht um seine Seele zu bereichern sondern für materielle Vorteile. Und weil et den Lebenssinn verloren hat, ist er eigentlich schon selbst tot.

Er hat Angst zu lieben, will nur ins Bett gehen aber keine Verantwortung tragen und nur seine Begierde stillen. Jeder jagt nach beruflichem Erfolg, Macht, einer guten Position, Geld aber nie nach etwas Innerem, lehnt die persönliche Befriedigung ein Mensch zu sein ab.

Man muss Gesetze, Imperative, die uns weder gerecht noch gut scheinen bekämpfen. « L’homme qui gagne sur les autres, c’est celui qui a un idéal, das heisst, wenn man immer das, was man tun muss tut ohne es zu verabscheuen, wenn man nicht in den Spiegel spucken muss jedesmal wenn man sich darin sieht, dann erreicht man auch das wonach man strebt.



Gewalt

Lang meint, dass sie auf dramatischer Ebene notwendig ist : die Leute glauben nicht mehr an die Hölle, noch ans das Letzte Gericht. Aber der physische Schmerz, das Leid flösst ihnen Angst ein. Deshalb ist die Gewalt ein notwendiges Element für die dramatische Konstruktion.
M der Mörder

ab 1930 il appliquera sa griffe personnelle sur toutes les réalités qu’il rencontre

>> cela explique qu’il fut parmi les 1er gds metteur en scène muets à accepter le parlant, à en rechercher toutes les ressources aulieu de dénigrer le principe. 3 ans sans film (1928 Die Frau im Mond)

1931 M

Thema erster Film mit Langs Lieblingsthema

Opposition zwischen der offiziellen Justiz, die langsam bisweilen sogar ungerecht ist

individuellen « gerecht, schnell aber illegale

= die Unfähigkeit der Weimarer Republik verglichen mit der Tüchtigkeit der Nazi-Organisation, die nicht mehr im Untergrund arbeitete.

>> letzte Szene : Becker wird zu Tode verurteilt, die Polizei kommt > Die Justiz wird ihn für ein paar Jahre in ein Asil schicken ,deshalb die letzte Szene « Eltern passt auf euere Kinder auf »

Lang konstatiert die Lage im damaligen Dt. : er ergreift nicht Partei, aber er zeigt das Für und Wider - --- die Fehler, die Schwächen der Demokratie

- die Gefahren des Faschismus

Niemand wird abgeurteilt. M der Môrder erscheint als mitleiderweckendes und pathetisches Opfer,

die Richter bisweilen als blutrünstige Bestien.

In M tritt anstelle des Ubermenschen mit abstrakten Zielen der vorhergehenden Stummfilme, der revolutionnäre Nazi, metaphorisch dargestellt um keinen Groll oder Rachsucht zu erwecken.



Technik



• verstärkte Lichteffekte : Bewegung des Rauchs / Wasserreflekte

• geometrische Zusammensetzung ,die den natürlichen Aspekt der Strassen und der Vitrinen verwandelt

• Schnitt (montage) succession brutale de plans où séquences qui rapprochent 2 faits ,en font sentir avec vigueur la relation imprévue comme le fameux escalier vide pris en plongée qui vient aussitôt

après le plan de la chaise vide de la petite Elsie dont on craint l’assassinat

Ball, Luftballon >> image d’un fait concret

« Das Wichtige : ein Kind wurde umgebracht, wie : das will ich nicht wissen : es ist widerlich Grausamkeiten zu zeigen. » » J’ai essayé de faire penser le spectateur, je n’ai pas voulu leur faire penser ce qu’ils imaginaient : dans le cinéma muet point positf : on peut imaginer ce que dit le personnage : der Zuschauer ist actif « Il faut créer des Emotions » (Man muss Gemütsbewegungen hervorrufen)

• Toneffekte + die Rufe der Mutter, die verschiedenen Tonlagen : fragend,ängstlich, autoritär,

verzweifelt

+ der Mörder pfeift eine Melodie , die ihn verrät

+ bruit saccadée de sa respiration accompagné du va et vient grinçant de la serrure

qu’il essaie de forcer le dénonce une 2nde fois

+ effet d’écho

+ silence complet, troué par un sel petit bruit qui le souligne

et le son oblige à concevoir des personnage réaliste et humain (# muet - vague, abstrait) ex. mèrezs éplorée, mendiant revanchard, homme de la foule >> toute une individualité précise

Lang recherche les détails les + particuliers >> allant jusqu'à la grossièreté et la trivialité : cf au bouton de la braguette de Lohmann.

Tentative révolutionnaire et associale >> M sir le dos >> hors société, traqué >> psychopathe, pedéraste >> se sent poussé par une force >> térorise toute une ville parcequ’il est victime de cette force. Contrairement aux autres monstres de Lang, il supplie ses juges : originalité : les tics, mimiques, gestes de traqué, son allure pataude et inquiétante à la fois lui donne vie

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